Trio Tricord

12, Rue de la Noise
chez Les Amis de Tsuica

92140 Clamart
France

Tél: 06.29.04.93.45


Présentation

Le trio Tricord’ joue et présente des morceaux d’Europe de l’est, avec des emprunts à d’autres répertoires. Il parcourt l’histoire, la tradition et l’évolution de cet instrument très riche malgré ses trois cordes, et qui est passé du milieu paysan aux oreilles aristocratiques, pour gagner sa place dans la musique actuelle, tant populaire que savante.
Avec Serge Vlassenko, balalaïka, Alexandre Vallaeys, balalaïka contrebasse, et Marianne Entat, violon

Qui sommes-nous ?

Tricord’ parcourt l’histoire, la tradition et l’évolution de la balalaïka très riche malgré ses trois cordes, et qui est passée du milieu paysan aux oreilles aristocratiques, pour gagner sa place dans la musique actuelle, tant populaire que savante.

Le trio Tricord

Les trois musiciens collaborent depuis de nombreuses années au sein de diverses formations, notamment l’ensemble Tsuica qui se produit sur scène mais aussi dans des mariages et galas. Ils ont formé fin 2012 le trio Tricord. Ils arrangent pour leur formation légère des airs traditionnels et des compositions russes, mais aussi des mélodies des Balkans et même quelques emprunts à d’autres genres musicaux.

Les musiciens 

Serge Vlassenko et Alexandre Vallaeys, tous deux d’origine russe, ont été bercés par les sonorités de la balalaïka dont ils jouent depuis leur enfance. La passion pour cet instrument a poussé Serge Vlassenko à se rendre à Moscou en pleine ère soviétique pour l’étudier dans l’école « Révolution d’Octobre », fleuron de l’académie Gnessine.

Alexandre Vallaeys est musicien pluri-instrumentiste (guitare, contrebasse…). Il a étudié la balalaïka contrebasse au conservatoire russe Rachmaninov. Ses compétences en lutherie en font un des rares à pouvoir remettre en état et entretenir cette famille d’instruments.

Marianne Entat a étudié le violon classique puis s’est tournée vers les musiques traditionnelles. C’est d’abord en Roumanie, grâce à un apprentissage par transmission directe, à l’oreille, qu’elle s’est familiarisée avec un répertoire très riche. Elle y a découvert un usage du violon tourné vers les fêtes, l’expression des émotions quotidiennes et l’accompagnement de danse, et appris des techniques particulières qui ont suscité l’intérêt de musicologues et compositeurs comme Bela Bartok. Ensuite, elle a élargi son répertoire vers le Nord et l’Ouest (Russie et Hongrie) et vers le Sud (Grèce et Balkans).