Bal Folk au Karnaval Solidaire

Le Bal Folk se déroulera le jeudi 3 avril de 20h00 à 1h30. Avec trois groupes renommés jouant tour à tour sur notre scène, le bal folk promet une soirée haute en couleurs et festive permettant à tout le monde de danser, dans l’ambiance festive des bals traditionnels, et des danses de groupes et de couple.

Ce bal folk est ouvert à tous·tes, aux débutant·es comme aux initié·es. Une initiation, à la danse folk traditionnelle et à la danse bretonne, est prévue sur la soirée pour permettre à chacun·e de danser.

Au programme ce jeudi 3 avril, de 20h00 à 1h00 :

— Les Cerclassiens : Les Cerclassien.ne.s sont une formation de Folk fondée entre un groupe d’ami.e.s d’horizons divers avec à leur répertoire des grands classiques de danse trad : cercle circassien (d’où le nom du groupe), scottish, mazurka, danse de l’ours, bourrée, valse... auxquels s’ajoutent parfois des influences irlandaises voire des sea shanties de pirates, au gré des goûts des joueurs. Après avoir commencé par faire danser des potes dans des jardins et locaux d’assos, on nous a progressivement proposé des occasions de monter sur scène et de nous produire en public à des événements divers (mariage, anniversaire, fête de la musique...), souvent en prenant en charge l’initiation aux danses.

— Duo Azare : C’est par hasard mais non sans évidence que ce duo passionné des bals depuis leur enfance fait aujourd’hui sonner leurs instruments ensemble. D’une amitié entre ces deux jeunes musicien.ne.s, est né le Duo Azare : un groupe de musique à danser qui puise dans le répertoire traditionnel Centre France et emprunte des compositions de leurs illustres aînés. S’ajoute à cela leurs compositions originales, le tout, arrangé à leur manière, pour proposer aux danseurs un bal frais et plein d’énergie. Le Duo Azare, c’est la belle complicité entre Lucie Laigle à la vielle à roue et Gabriel Chiapello à l’accordéon diatonique, et ils comptent bien faire vibrer les parquets !

— Alizarina Solo : D’un kick techno à une mélodieuse clarinette, Alizarina mélange les influences électroniques, klezmer, balkaniques tsiganes. Fruit de voyages et d’une curiosité sans limite, sa musique vous portera où l’on ne s’y attend pas, mais vous amènera sûrement à songer... Simon, alias Alizarina, propose des compositions inspirées d’éléments traditionnels, une épopée sonore de la Bretagne à la Roumanie, parfois infusée d’une chaleur orientale ou sud-américaine. Le tout est toujours guidé par la clarinette, aux accents klezmer, balkaniques, mais aussi classiques ou celtiques. Un tapis électronique soutient et dynamise les timbres acoustiques et s’enveloppe d’une rythmique franche et vivante. Un nouvel OVNI, un son qui s’installe, une mélodie qui reste en tête, un alchimiste de la musique électronique comme on en fait trop peu. L’alizarine est un pigment rouge extrait d’une racine végétale : la garance des teinturiers. Alizarina, c’est vif, ça bouge, c’est organique, floral et poétique. Ça prendra racine dans le ressenti, l’intense, le vivant. Après son premier album "Melodic Blossom", la fleur éclot, faisant découvrir quatre pétales et se nomme "Rubia Harmonia".